
La condamnation a minima semble être devenue la règle dans le monde hystérique de la politique française. On casse tout dans Paris, on balance des scooters (certes en libre service mais quand même) sur les forces de l’ordre, on boxe un gardien de la paix sous les encouragements des gilets jaunes présents… Alors forcément, l’opposition condamne…
L’opposition condamne parce qu’elle n’a pas le choix. Comment justifier le lynchage d’un gardien de la paix ou l’incendie d’un restaurant ? Mais voilà, la condamnation n’est pas bonne pour les affaires. Alors, l’opposition condamne “mais”… Car elle ajoute toujours ce merveilleux terme de la langue française qui permet de dire tout puis son contraire. Car il y a toujours un “mais”. Bref, l’opposition condamne sans condamner et ajoute même de l’huile sur le feu. Peu importe si les scooters en libre-service brûlent.
Le cas Mélenchon
Un homme aussi cultivé que Mélenchon, aussi brillant, aussi éloquent appelle à l’insurrection. Quel encouragement ! Un journaliste cinéaste aussi passionné que François Ruffin appel au crime ! Quelle aubaine ! Alors on prend un engin de chantier et on défonce les grilles de a République. On tabasse des pères de famille, on pille des commerces, on menace de mort,… Antoine LEAUMONT responsable de la communication numérique de LFI ce-soir vient d’en rajouter une couche.
L’histoire jugera.
Un commentaire sur “Les gilets jaunes et l’art de la fausse condamnation de la violence”
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