
Sur son lit de mort, le petit corps de Stephen HAWKING, tordu par les assauts de la maladie de Charcot, ne s’exprimait plus que par quelques battements de paupières. L’esprit, en revanche, était bien là, vif, aiguisé. Un esprit brillant qui cherchait encore le Graal de l’astrophysique : la théorie du tout, celle capable d’enfermer [...]
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