
Chacun a connu la douloureuse expérience de l'oisiveté passive : ne rien faire, rester au repos sur une chaise. Quoi de plus difficile ? Un supplice ! Constater le temps qui passe, sans occupation, sans écran, sans agitation, seul face au néant, confronté à ses propres pensées, avec comme seule compagnie le tic-tac de l'horloge [...]
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